Inspirée par les univers des surréalistes, notamment Breton et Éluard, Sophie Bastien signe un premier recueil de poésie touchant, qui évoque les douleurs amoureuses, les deuils et les reconstructions sans laisser de côté les fragments de lumière. Avec délicatesse, l’autrice parsème son recueil de taches de couleur, de gouttes d’eau et de paysages étrangers, dans un mouvement qui rappelle combien les errances sont nécessaires à la construction de soi.

À propos de l'auteur

Bastien, Sophie

Sophie Bastien est professeure titulaire à l’université du Collège militaire royal du Canada, au Département de langue française, littérature et culture. Je viens d’un long silence constitue sa première incursion en poésie. Jusque-là, sa production se composait de travaux critiques. Sa monographie Caligula et Camus. Interférences transhistoriques a remporté le prix de l’Association des Professeur·e·s de français des universités et collèges canadiens (APFUCC). Elle a aussi dirigé ou codirigé quelques ouvrages collectifs, et publié plus de soixante articles et chapitres de livres, surtout sur Albert Camus, le surréalisme et en études théâtrales.