Saviez-vous que le mandala, souvent utilisé pour la détente, la recentration ou en art-thérapie, est aussi appelé « psychocosmogramme » ? Après une expérience de mort imminente en 2005, l’autrice, Elena Martinez, s’est engagée dans une profonde quête de sens, nourrie notamment par les écrits de Carl Gustav Jung, qui utilisait le psychocosmogramme comme outil d’exploration de l’inconscient. Formes et couleurs révèlent les archétypes de celui ou celle qui le colorie, offrant une voie vers une meilleure connaissance de soi. Son ouvrage Ma rencontre avec Jung : Le psychocosmogramme, la face cachée du mandala est le fruit de 15 années de recherche et de réflexion. À l’image de l’expression espagnole « dar a luz » — donner à la lumière — ce livre invite à une renaissance intérieure, en réconciliant vie et âme.